Un vent de colère souffle parmi plusieurs organisations de droits humains, indignées par la récente décision du Conseil Présidentiel de Transition (CPT). Selon ces organisations, le CPT a délibérément ignoré le vote de plus d’une centaine d’entre elles, qui avaient élu Gédéon Jean à la tête de leur représentation via des élections jugées inclusives et transparentes.